J'ai toujours été une jeune femme fort tranquille. Je vais au travail vêtue de ces stricts tailleurs courts qui mettent ma silhouette en valeur et aguichent les hommes, mais mon attitude si
réservée les décourage. Personne n'ose me regarder dans les yeux lorsqu'on m'adresse la parole. Je n'ai qu'un amant en titre et c'est le plus intimidant des hommes d'un fameux bureau d'avocats.
Mais je travaille aussi avec un jeune assistant qui s'appelle Miguel.
Miguel est un jeune homme de 28 ans, brun ténébreux assez charmant et d'après ses regards, assez dragueur. J'étais dans le bureau, nous avions plusieurs petites questions professionnelles à régler
et tout cela se passait comme d'habitude, très bien. Miguel et moi étions restés seuls à la fin. Alors j'aperçus une lettre sur ma table, une lettre qu'il venait vraisemblablement de glisser sur la
table. Je le regardai et lui souris avant de commencer à lire son étrange récit. Il ébaucha à son tour un sourire hésitant, puis son visage s'illumina.
***************************************************************
Bonjour ma chère Joana,
Cela fait longtemps que j'ai remarqué votre beauté mais vous êtes toujours restée inaccessible, entourée d'une foule d'admirateurs bien plus brillants que moi. Vous êtes vraiment superbe, sexy,
toujours habillée très provocante, laissant derrière vous un parfum troublant.
Je suis si attiré par vous, vous me hantez totalement ! Ce que je vous propose c'est de m'aider à découvrir le plaisir. Vous êtes l'occasion unique de faire de ma vie une aventure merveilleuse. Je
vous propose d'être votre élève. Ensuite, j'aimerais qu'en retour vous deveniez mon esclave. Je vous apprendrais à vous servir de votre corps pour me donner du plaisir mais surtout, pour que
vous-même découvriez ce que c'est. Si vous acceptez ma proposition, je me servirai de votre bouche, de votre sexe et de votre cul sans que jamais vous ne puissiez refuser quoique ce soit. Je dois
vous avouer que je n'ai pu résister à votre charme, à votre très grande beauté, à votre humour, à votre intelligence...
Je sais que vous en aimez un autre mais qu'il se fout de vous. Ce que ma proposition vous apportera est de le séduire en devenant une folle de sexe. Et je serai pour vous, le maître et l'élève,
celui avec lequel vous apprendrez tout. Je vous ferai sortir sans culotte, vous serez amenée à faire l'amour à d'autres hommes devant moi, à des femmes aussi peut-être. Je ne vous cache rien. En
contre partie vous pourrez sortir avec qui vous voudrez, je ne suis pas jaloux du tout. Mieux encore, je vous aiderai à vous trouver un petit ami pour attiser la jalousie de celui que vous aimez.
Ce n'est pas pour autant que nous devrons cesser de nous voir. Lorsqu'une envie sexuelle vous prendra durant les journées de travail, vous pourrez exiger de moi de m'offrir à vous à tout moment, en
utilisant un code convenu à l'avance entre nous. L'apprentissage des choses de l'amour que je vous inculquerai vous permettra de vous l'attacher complètement, vous le rendrez fou de vous. Comme
vous pouvez le constater, je joue franc jeu avec vous.
Bisous
Miguel
************************************************************
Je reculai prestement à la fin de ma lecture et je souris, sans rien dire, mais terriblement amusée par l'état d'excitation incroyable dans lequel elle me plongeait. Je ressentis une déchage
électrique tellement ce jeune homme me troublait par sa proposition gonflée...
Je lui dis :
- Tu crois vraiment que je peux accepter ça ?
- Je vous veux tellement !
- Je suis la maîtresse de Maître Xavier, tu n'es pas sans le savoir ? Notre patron, en passant !
- Oui, je le sais.
- En plus j'aime la vie qui avec lui et je n'ai aucune intention de le quitter.
Sur ces mots, je déboutonnai un peu mon chemisier, j'écartai les jambes et je lâchai un soupir. Évidemment, il devint cramoisi de désir. Je souris et ouvris le chemisier totalement, découvrant un
soutien-gorge bien rempli et une peau bronzée. Avec un regard langoureux, je retirai le tout et me déhanchai en retirant mes chaussures et mes bas nylon. Mon futur amant semblait apprécier au plus
haut point.
L'érection qu'il avait de plus en plus de mal à dissimuler me le confirmait. Je retirai ma jupe et me retrouvai en slip devant lui. Avec un air taquin, je saisis la main de Miguel et lui fis saisir
un de mes seins. Je continuais à me déhancher, en effleurant puis en frottant carrément mon corps, presque entièrement dénudé sur le sien, toujours vêtu. Je continuai mon petit manège en amenant
mon futur amant à s'asseoir sur un fauteuil et j'enjambai ses genoux afin de bien caresser son visage de mes seins.
- Tu les aimes, dis ?
Je sentis ses mains caresser mes hanches et sa bouche embrasser ma poitrine. L'excitation commençcait à me gagner de façon irréversible. Je terminai mon strip-tease improvisé en retirant
langoureusement mon slip noir, que je laissai retomber sur les genoux de l'assistant qui avait glissé une main dans son pantalon... Le voilà qui s'activait sans ménagement... Puis doucement, il
glissa ses doigts sur la peau de mon cou à mes cuisses, s'attardant sur mes seins.
Je gémis, il écarta le plus possible mes jambes et posa une main sur mon pubis. Il laissa ses doigts m'inspecter. Je gémis plus fort, appréhendant le plaisir. Il sauta alors brusquement sur mes
seins, qu'il se mit à sucer et à mordiller. Le plaisir et l'excitation que ce geste me causa, me surprit tout d'abord. Il me demanda de détacher son pantalon et de libérer son sexe qui manquait
d'espace, ce que je fis avec empressement, lorsque je sentis les doigts de Miguel, lequel dévorait ma poitrine si goulûment, pénétrer avec force mon intimité.
Je ne pus réprimer un autre gémissement très fort. Il cessa de bouger. Il écarta mes jambes, posa sa main directement sur mes lèvres intimes, les écarta et y descendit la tête pour me lécher. Mais
déjà sa langue pénétrait entre les lèvres de ma chatte et sa bouche aspirait mon sexe délicieusement. À un moment, son pouce a touché mon clitoris et j'ai failli jouir, poussant un soupir de
plaisir. Aveuglé par son désir, il se mit à me sucer, me mordiler, me lécher sauvagement, si bien qu'il pu bientôt boire les résultats de mon excitation. Sentant que j'allais perdre le contrôle
tellement le plaisir était intense, je saisis sa tête à deux mains et la maintint fermement entre mes jambes.
- Allez.sors ta langue et joue avec mon clitoris tu veux bien ?
Il fit un "Oui" de la tête et il commença à torturer agréablement mon clitoris. Il le fesait bien... Je jouis alors très
rapidement.
- Oh Miguel, encore, ne t'arrêtes pas, ai-je crié alors que je sentais que j'allais jouir de nouveau.
Ses doigts me ramonaient de plus en plus vite et tout à coup, j'explosai, inondant la bouche de mon amant de mon jus d'amour dont il se régala. Il se releva alors pour s'allonger sur moi et sa
bouche trouva la mienne. Je sentis sa langue forcer mes lèvres et je lui rendis son baiser avec passion.
Ce geste n'eut pour conséquence que de doubler son agressivité passionnelle et il se releva, me saisissant à la taille. Il appuya mes fesses sur le bord du bureau et me regarda avec attention. Il
me laissa tomber lourdement sur le bureau de travail au centre de la pièce et, m'écrasant le dos contre le meuble, il saisit mes pieds et les remonta sur ses épaules. Abasourdie, je le regardai
faire sans me débattre. Je me sentais de plus en plus excitée et je fus charmée de me rendre compte que Miguel avait décidé de me baiser sur le bureau, lorsqu'il enfonça profondément son sexe en
moi.
Jesentis ma chatte se distendre au passage de cet engin si gros. À mon grand étonnement, mon sexe s'habitua et je sentis même le plaisir monter en moi. Lorsque mes gémissements se transformèrent en
râles puis en cris, il accéléra le rythme, me pilonnant comme un forcené. Je sentais ses couilles qui venaient battre contre mes fesses et tout à coup, il explosa en criant, déchargeant sa semence
dans mon ventre et déclenchant mon orgasme. Il posa sa grosse main en travers de ma bouche pour étouffer le bruit. Je jouis longtemps... Je glissai sensuellement ma langue sur ses lèvres puis j'eus
un autre orgasme divin.
Depuis, Miguel et moi apprenons beaucoup l'un de l'autre... Et mon patron ne m'intéresse même plus !!!
Derniers Commentaires