Vendredi 11 décembre
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Un moment qui nous arrive finalement assez peu dans la vie de tous les jours , c'est d'avoir le privilege de deviner pendant quelques fractions de secondes la culotte
d'1 distraite sous une jupe trop courte. Je dis distraite car je n'ai jamais eu le privilege d'assister autrement qu'avec mes compagnes à une provocation volontaire de ce genre .
Il y a quelques semaines, je me suis retrouvé dans le metro sur la ligne 1 assis face à une charmante jeune femme que j'ai d'abord découverte des chaussures à la taille en relevant légèrement ma
tete du livre dans lequel j'etais plongé . Pe
ndant les 7 stations qui me separaient de mon travail ou je me rendais, je n'ai pas relevé la tête completement pour voir son visage (j'aurais été forcé de la devisager) , observant
discretement en feignant de lire mon livre une jupe de tailleur sobre mais elegant recouvrant à mi-cuisses 2 jolies gambettes sérrées l'une contre l'autre habillées de bas noir à la couture a peine
visible , une paire d'escarpins du plus bel effet coinçant tant bien que mal malgré les secousses du metro le haut de la sacoche de son portable contre son siege .
Les yeux rivés à l'endroit meme sous sa jupe ou disparaissaient ses cuisses sous le fin tissu sombre, trop sombre , je n'ai pas honte de dire que j'aurais rêvé en ce moment précis de pouvoir
apercevoir ne serait-ce qu'un cm2 de sa culotte ( que je m'imaginais etre sans l'ombre d'un doute un string légèrement ajouré certainement en dentelle noire). Me satisfaisant malgré tout de cette
emoustillante vision du matin , quelle ne fut pas ma surprise d'1 seconde à l'autre, au moment meme ou le metro a freiné brusquement et que sa sacoche a commencé à glisser, de la voir ecarter les
jambes sur un reflexe pour retenir cette derniere .
Ce n'est pas 1 cm2 de dentelle noire (qui aurait été invisible sous une jupe sombre )mais bien 4 ou 5 d'une culotte apparemment toute simple en coton blanc que j'ai eu le temps d'apprecier 2
voire 3 secondes le temps qu'elle cale bien comme il faut sa sacoche entre ses pieds et qu'elle resserre ses cuisses . Gardant toujours le plaisir de decouvrir son visage au moment ou je sortirais
de la rame, je souriais interieurement de ce moment volé, excité par le voyeurisme imprévu de la situation ... J'en ai encore l'excitation ...
Par erotheo
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Publié dans : Fantasmes confessions
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C'est étrange mais même des mots communs de votre part me paraissent bien plus qu'émoustillants ...