Le journal intime de Theo
J’arrivais sur la petite place un quart d’heure en avance. Je garai ma voiture et fit le tour de la place avec mon regard. Il y avait plus loin des toilettes
publiques, le côté hommes ouvrant face à la route, c’est une nationale il y circule énormément de voitures tous les jours. J’eu peur que quelqu’un voit ma voiture et me reconnaisse. Sur la place il
y avait des personnes âgées près d’un camping car.. la place était bien exposée à, ras la route nationale. En face les voitures étaient arrêtée à un feu et tout le monde pouvait me voir attendre
dans ma voiture, cela me gênait. Je regardais ma montre et je me disais que j’allais partir, je en pouvais pas faire cela. Puis je me dis mais si je retourne quelle excuse vais-je donner. Et puis
j,’avais le trac, la peur de qu’il me trouve nulle en amour, la peur qui transpirait de mon corps. Mais en même temps ma chatte coulait par cette montée d’adrénaline. Une voiture se gara près de
moi mettant fin à toutes mes élucubrations. Une voiture rouge, je n’osais tourner la tête de côté pour voir. Je le fis quand même. C’était bien lui, je me demandais si je devais sortir la première
ou si je devais attendre, je ne savais plus. Son visage était radieux. Il ouvrit ma portière, me tendit la main et me fit sortir. Il voulu m’embrasser sur la bouche mais j’ai dévié la tête de façon
à ce que sa bouche atterrisse sur ma joue on ne sait jamais si quelqu’un nous voyais. Il ne fit aucun commentaire. Il me dit que j’étais magnifique, que mes rondeurs m’allaient bien, que j’étais
superbe. Il me dit qu’il aimerait bien me prendre en photo Mais je lui dis pas le visage, il promit. Il me tendit la main et me dirigea vers les toilettes, je vérifiais qu’il n’y avait personne, le
couple de personnes âgées était remonté dans leur camping car et repartait. Je voulu entrer du côté des femmes, contraire à la- route, mais il me poussa côté homme.
Mais si on me voit ?
Et alors me répondit il, personne en te reconnaitra ne t’inquiètes pas
Je rentrais dans le côté urinoir des hommes. Il me demanda d’ouvrir mon manteau. Non je ne pouvais pas je n’avais rien dessous hormis mon soutien gorge mais ça il ne le savait pas.
Allez ne fais pas ta timide me dit il, tu es belle, montre moi comme tu es encore plus belle. J’ouvrir un bouton puis deux, trois, quatre et cinq, lentement, les pans de mon manteau étant resté bien l’un contre l’autre. Il me sourit et pris les pans et les écarta et là il siffla d’admiration,
Mais voyez vous ça madame, m’a fait une superbe surprise. Uhmm ce que tu es belle, je te dévorerais bien là, et il me mitrailla comme cela puis il me demanda d’enlever carrément le manteau ce que je fis. Son regard était de plus en plus brillant. J’entendais les voitures passer et s’arrêter au feu mais je n’y faisais même plus attention. Il me demanda de monter légèrement ma jupe, je le fis la tête vide peuplée que de mon envie. Il voulu que je lui montre mon string, là hésiterais mais je le fis après avoir jeté un regard sur les voitures qui se trouvait à une vingtaine de mètres, personne sur la place.
Humm tu es belle à croquer. Me dit-il. Maintenant tu vas te tourner et mon montrer ton joli petit cul..
Pendant que j’y étais je me suis retournée sans réfléchir sinon j’étais perdue. Il me demanda de coincer ma jupe dans la taille ce que je fis le cœur battant. Je sentais son regard sur mes fesses. Il ne prenait pas de photos je n’entendais rien.
Tu as un cul à faire bander un mort ma jolie me dit il.
Il me prit en photo et me demanda de me baisser les jambes bien écartées, je savais qu’ainsi j’exposais ma chatte dont les lèvres sortaient de chaque côté du string et mon cul s’ouvrait sur mon anus.
Oh que c’est mignon tout ça dit il d’une vois plus rauque.
Il prit plusieurs photos. Un homme arrivait avec son chien j’eu juste le temps de remettre ma jupe mais j’avais oublié mon manteau F me le tendit mais l’homme avait eu le temps de voir que je n’étais qu’en soutien gorge. Il sourit en continuant son chemin et moi je rougis. Heureusement que je ne le connaissais pas. J’en étais rouge de confusion.
F me pris la main et me fit monter dans sa voiture. Je regardais que personnes ne tourne la tête de mon côté et me reconnaisse. Je montai dans sa voiture troublée.
Nous allons allez chez moi. Pendant le trajet, il commença à passer sa main sous ma jupe. Il les remontait lentement sur mes genoux, remontant le long de mes cuisses. Mon souffle s’accélérait, je fixais la route droit devant moi pour me donner une contenance. Il glissa lentement sa main à l’intérieur de mes cuisses et pausa ses doigts sur ma chatte.
Uhmmm comme s’est trempé tout ça, j’adore. Effectivement tu es une vrai fontaine mon ange.
J’écartais mes jambes sur le siège de façon à avoir plus de pression de ses doigts sur ma chatte. Mais il glissa ses doigts sous mon string et en enfonça deux directement dans ma chatte, je fut surprise et je gémis sous le plaisir, il retira ses doigts et les lécha.
Tu as bon gout chérie, uhmmm comme je vais aimer te lécher te faire découvrir le cunni.
Il savait que je n’en avais jamais eu. Puis il remit ses doigts dans ma chatte. Il titilla mon clito de son pouce pendant que deux de ses doigts allaient et venait dans ma chatte je me retenais je savais que si je me laissais aller j’allais jouir. Et je ne voulais pas tacher ses sièges de voiture avec ma cyprine. Il retira ses doigts à ‘l’approche de chez lui, il passa par derrière à cause des voisins car il était marié et voulait éviter une scène de ménage. J’avais quand même quelques scrupules qui furent vite effacés quand F m’embrassa. Il posa sa bouche sur la mienne, chaude douce, sa langue força ma bouche qui s’ouvrit par instinct. Le contact de sa langue sur la mienne m’électrifia. Je me mis à l’embrasser goulument comme une assoiffée de baisers. Quand notre baiser pris fin il me dit.
Uhmmmmm je sens chéri que tu vas me faire jouir comme personne, tu embrasses du tonnerre.
J’allais envie de lui rétorquer que c’est lui qui m’inspirait mais je me suis tue de peur de paraitre idiote.
Mais si on me voit ?
Et alors me répondit il, personne en te reconnaitra ne t’inquiètes pas
Je rentrais dans le côté urinoir des hommes. Il me demanda d’ouvrir mon manteau. Non je ne pouvais pas je n’avais rien dessous hormis mon soutien gorge mais ça il ne le savait pas.
Allez ne fais pas ta timide me dit il, tu es belle, montre moi comme tu es encore plus belle. J’ouvrir un bouton puis deux, trois, quatre et cinq, lentement, les pans de mon manteau étant resté bien l’un contre l’autre. Il me sourit et pris les pans et les écarta et là il siffla d’admiration,
Mais voyez vous ça madame, m’a fait une superbe surprise. Uhmm ce que tu es belle, je te dévorerais bien là, et il me mitrailla comme cela puis il me demanda d’enlever carrément le manteau ce que je fis. Son regard était de plus en plus brillant. J’entendais les voitures passer et s’arrêter au feu mais je n’y faisais même plus attention. Il me demanda de monter légèrement ma jupe, je le fis la tête vide peuplée que de mon envie. Il voulu que je lui montre mon string, là hésiterais mais je le fis après avoir jeté un regard sur les voitures qui se trouvait à une vingtaine de mètres, personne sur la place.
Humm tu es belle à croquer. Me dit-il. Maintenant tu vas te tourner et mon montrer ton joli petit cul..
Pendant que j’y étais je me suis retournée sans réfléchir sinon j’étais perdue. Il me demanda de coincer ma jupe dans la taille ce que je fis le cœur battant. Je sentais son regard sur mes fesses. Il ne prenait pas de photos je n’entendais rien.
Tu as un cul à faire bander un mort ma jolie me dit il.
Il me prit en photo et me demanda de me baisser les jambes bien écartées, je savais qu’ainsi j’exposais ma chatte dont les lèvres sortaient de chaque côté du string et mon cul s’ouvrait sur mon anus.
Oh que c’est mignon tout ça dit il d’une vois plus rauque.
Il prit plusieurs photos. Un homme arrivait avec son chien j’eu juste le temps de remettre ma jupe mais j’avais oublié mon manteau F me le tendit mais l’homme avait eu le temps de voir que je n’étais qu’en soutien gorge. Il sourit en continuant son chemin et moi je rougis. Heureusement que je ne le connaissais pas. J’en étais rouge de confusion.
F me pris la main et me fit monter dans sa voiture. Je regardais que personnes ne tourne la tête de mon côté et me reconnaisse. Je montai dans sa voiture troublée.
Nous allons allez chez moi. Pendant le trajet, il commença à passer sa main sous ma jupe. Il les remontait lentement sur mes genoux, remontant le long de mes cuisses. Mon souffle s’accélérait, je fixais la route droit devant moi pour me donner une contenance. Il glissa lentement sa main à l’intérieur de mes cuisses et pausa ses doigts sur ma chatte.
Uhmmm comme s’est trempé tout ça, j’adore. Effectivement tu es une vrai fontaine mon ange.
J’écartais mes jambes sur le siège de façon à avoir plus de pression de ses doigts sur ma chatte. Mais il glissa ses doigts sous mon string et en enfonça deux directement dans ma chatte, je fut surprise et je gémis sous le plaisir, il retira ses doigts et les lécha.
Tu as bon gout chérie, uhmmm comme je vais aimer te lécher te faire découvrir le cunni.
Il savait que je n’en avais jamais eu. Puis il remit ses doigts dans ma chatte. Il titilla mon clito de son pouce pendant que deux de ses doigts allaient et venait dans ma chatte je me retenais je savais que si je me laissais aller j’allais jouir. Et je ne voulais pas tacher ses sièges de voiture avec ma cyprine. Il retira ses doigts à ‘l’approche de chez lui, il passa par derrière à cause des voisins car il était marié et voulait éviter une scène de ménage. J’avais quand même quelques scrupules qui furent vite effacés quand F m’embrassa. Il posa sa bouche sur la mienne, chaude douce, sa langue força ma bouche qui s’ouvrit par instinct. Le contact de sa langue sur la mienne m’électrifia. Je me mis à l’embrasser goulument comme une assoiffée de baisers. Quand notre baiser pris fin il me dit.
Uhmmmmm je sens chéri que tu vas me faire jouir comme personne, tu embrasses du tonnerre.
J’allais envie de lui rétorquer que c’est lui qui m’inspirait mais je me suis tue de peur de paraitre idiote.
Mer 27 aoû 2008
1 commentaire
Trés excitant de t'imaginer en train de revivre ça !
erotheo
Rose