Le journal intime de Theo

Tous les jours nous primes l’habitude de se parler sur msn. Les textes étant de plus en plus chauds de plus en plus érotiques le désir montant de plus en plus.  Il désirait me voir nue, osée, il insistait pour me voir, mais je refusais pour l’instant, la peur de l’infidélité. Je me méfiais de mon comportement dans la journée la peur que le plaisir que ‘j’avais ressenti se voit sur mon visage.

Puis un jour il me demanda mon numéro de portable . Je lui donnais.

Entendre sa voix pour la première fois fut comme un choc une concrétisation de plus. Je guettais ses apparitions sur msn, ses textos brulants. Il me convoitait de plus en plus , voulait me voir me suppliait d’accepter de le voir. Mais j’hésitais, allais je franchir le pas ? Oserais-je tromper mon mari ? le doute, l’incertitude et cette terrible envie. Je ne pensais qu’à ça, à le rencontrer, mon cœur disait oui mais ma tête plus prudente disait mais non c’est une folie. 

Il se masturbait souvent sur msn devant moi ce qui ‘m’excitait encore plus. On s’était même fait jouir par téléphone, sa voix chaude répondant à la mienne, il entendait mes gémissements il me commandait des choses insensées, mais sachant qu’il ne me voyait pas j’osais le faire. Un jour il me demanda de me mettre nue, d’écarter mes cuisses devant une glace de me doigter et me branler le clito ce que je fis sous ses ordres ...

... puis il me dit de prendre un concombre ce que je n’avais pas mais une carotte et de me l’enfoncer.
Je me suis dite que je n’allais pas faire cela mais l’envie était si forte , si pressante ! Je suis descendue en chercher une que j’ai lavé, puis je me suis remise comme il m’avait ordonné, de me voir ainsi dans la glace, impudique la chatte ouverte et mouillée, presque comme une pute qui attends un client je me fit honte, mais j’avais tellement envie de jouir sous sa voix . J’enfonçais la carotte dans mon vagin et je jouis sous ses ordres, il voulut que je prenne une photo ainsi, puis il me demanda de retirer la carotte de mon vagin et de la croquer de la manger avec ma mouille.

Je lui ai dit mais ça va pas je ne vais pas faire cela, et il me répondit, pourquoi ? Goute au moins à ta mouille et tu me diras le gout qu’elle a car j’en ai envie. Et je pris la carotte pleine de ma mouille et je la mangeai.

Ce fut très particulier ce gout c’était la première fois que je goutais à ma cyprine. Il me demanda de prendre une photo.







P uis une autre de ma chatte ouverte, de bien l’ouvrir avec mes doigts et de la prendre ainsi en photo ma mouille coulant doucement de mon vagin encore. C’était gênant et excitant à la fois. Il me dominait et il le savait pertinemment. Quand il avait raccroché je me disais que j’étais complètement folle de faire des trucs pareils, il devait me prendre pour une pute en mal d’amour. Je me jurais de ne plus le faire, mais à chacun de ses appels cela devait comme une drogue .



Un jour il me demanda de prendre mon anus en photo, pas facile seule, il me demanda si j’avais été sodomisée, je lui répondis que non, jamais, il voulut savoir si j’aimerai le faire, je lui dis que par curiosité oui peut être, surement. Il me demanda de mettre un de mes doigts dans ma chatte d’’en prendre la mouille et qu’ensuite de le mettre dans mon anus il me demanda quel effet cela me faisait. Je lui dis rien de particulier c’est juste excitant.


Il me répondit qu’il aimerait être là que là je le faisais bander que vraiment il aimerait me voir qu’il fallait que je me décide, que risquerais je  , On peut boire un verre me dit il. Je ne sais pas répondis je, peut être, peut être, en fait j’étais tentés de plus en plus .

J’avais envie de le voir bander devant moi, pour moi, de me caresser et pour une première fois ‘j’avais envie de sentir la langue d’un homme sur ma chatte j’en avais vraiment envie. Il me dit qu’il me fera jouir dans sa bouche, qu’il me sucera le clito et me lapera ma jouissance. Ces mots me transportaient, mais j’hésitais encore. Puis finalement au bout de deux mois de contacts réguliers je dis oui, comme cela, sans réfléchir, le cœur battant. J’ai osé, je n’en revenais pas nous avons fixé une date la semaine suivante le matin. Quand il eu raccroché je me demandais comment j’allais faire, ce n’était pas possible quelle excuse j’allais inventer. Dans quel guêpier je m’étais mise. Je regrettais. Mais j’avais tellement envie de le voir qu’il me fasse l’amour.



J’avais l’impression que la culpabilité transpirait de mon corps que mon mari le voyait. Mais non je me faisais des idées, j’en étais presque arrivé à ne plus dormir. Puis je lui parlais tous les jours il me rassurait, il me demanda si je voulais bien lui faire plaisir. Je lui répondis que oui, il me demanda la chose suivant : j’aimerai que tu viennes nue sous un manteau. Non, fut ma première réponse je ne peux pas faire cela on le saurait on va me voir, si dit il fait le pour moi stp, si tu as envie de moi fais le, tu en le regretteras pas crois moi je banderais comme un fou. Non dis je  ne peux pas. Il n’insista pas plus mais me dit qu’il regrettait que je n’ose pas ainsi. Il me donna rendez sur une place, dans la plus grosse ville éloignée. Enfin sur une place aux abord de la ville près d’une nationale,.

La vieille au soir je n’arrivais pas à dormir, je m’étais préparée, j’avais bien épilée ma chatte qu’elle soit toute douce et j’avais peur que mon mari me demande pourquoi je l’avais fait alors qu’il détestait cela et qu’il me l’avait plusieurs fois fait remarquer.

Je fis semblant de dormir quand il vint se coucher. Mais de toute façon il s’endormit comme une masse brisé par la fatigue. Moi je n’arriverais pas à fermer l’œil. Je me posais tout un tas de question ? Et si mon mari s’en apercevait, je lui ai dit que j’allais à Poitiers voir un gynéco et que j’y resterai la journée pour faire des courses.


Et si quelqu’un me voyait, me reconnaissait, non je ne pouvais pas faire cela. Mais trop tard j’avais promis. Quand le jour se leva je me lavai et m’habilla comme à l’accoutumé pour ne pas éveiller les soupçons .


J’emmenais mon fils à ‘l’école. Puis je pris le chemin de Poitiers comme mon mari le croyait. Il faisait froid en ce mois de mars j’avais emmené d’autres
vêtement et je ‘m’arrêta en cours de route.

J’enfilais une porte jarretelle noire, un string noir et des bas noirs. Je complétais par une jupe noire et un soutien gorge assorti, puis je décidai de lui faire la surprise de ne rien mettre d’autre.

Ce n’était pas vraiment ce qu’il avait demandé mais juste un peu. Je mis mon manteau et attacha celui-ci. Pendant tout le long du trajet je sentais mon cœur frapper ma chatte d’envie comme si il se trouvait dedans. mélange de peur et d’envie..
Mar 26 aoû 2008 1 commentaire
Comme c'est souvenirs me reviennent, c'est fou

Rose
Rose - le 03/06/2009 à 09h47
Ravi de faire remonter cette excitation dans ta mémoire !
erotheo